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Question et terrorisme arméniens

Question et terrorisme arméniens

Les causes historiques de l’agression de l’Arménie contre l’Azerbaïdjan nécessitent la prise en compte certains aspects de l'histoire arménienne. Cette politique d’agression constitue l’essence de l’histoire arménienne. C’est pourquoi, dès la création des conditions favorables, les Arméniens ont fait tout pour réaliser leurs intentions perfides. L'émergence de la soi-disant «question arménienne» n’était pas occasionnelle. Il est nécessaire de réexaminer cette question du point de vue du conflit arméno-azerbaïdjanais. «La question du Karabakh» doit être considérée comme une partie de la «question arménienne». La «question arménienne», elle-même fait partie de la question de l’Orient. Vers la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, de nombreuses œuvres ont été consacrées à cette question. Un article de l’historien V. Gurko-Kryazhin publié en 1926 dans la Grande Encyclopédie Soviétique figure parmi ces œuvres. A la fin de l’article il écrivait : «…les migrants arméniens les plus consciencieux changeaient leurs vieilles croyances, et retournaient à leur pays d’origine en reconnaissant leur culpabilité. Après le coup d’Etat soviétique le Dachnaktsoutioun est condamné à mort». Mais, l’historien s’était trompé… Par conséquent, nous présentons d’abord cet article. Au cours des prochaines étapes, sont prévus la collecte et l’analyse des faits et des documents concernant «la question arménienne». La question arménienne – est une partie de celle appelée la «question d’Orient» et elle doit être vue sur deux angles ou points de vue. L’entité externe: en vue d’affaiblir la Turquie les grands puissants cherchaient à renforcer les forces centrifuges dans le pays. L’entité interne : sous la direction de leur propre bourgeoisie, les Arméniens luttaient pour l’autodétermination nationale, ainsi que pour les facteurs politiques et économiques qui contribueraient au développement de la bourgeoisie. Les bases de la question arménienne avaient été jetées au XVIIIe siècle lorsque l’aristocratie financière de Constantinople avait commencé à diriger le peuple arménien. Le peuple arménien, dispersé partout en Turquie de l’Asie mineure, avait très vite créé sa bourgeoisie commerciale. La dernière jouait un rôle significatif dans l’économie de la Turquie. Elle devenait propriétaire en prêtant de l’argent au gouvernement, aux gouverneurs de province.

Après la prise de Constantinople (1453), il y avait une assemblée des notables (composée des représentants de l’aristocratie financière) sous le règne du Patriarche de Constantinople qui était leader de la communauté arménienne théocratique. Ses relations avec les marchands arméniens vivant en Syrie, au Liban, ainsi qu’aux Etats-Unis et les flux de capitaux étrangers ont joué un rôle important dans le développement de la croissance économique arménienne en Turquie. Il est à noter que de nombreux artisans arméniens ont joué avec les Grecs un grand rôle dans l’industrie artisanale de Turquie. Par conséquent, il est évident que lorsque le capitalisme occidental attaquait le Proche-Orient les pays occidentaux cherchait à s’appuyer sur l’économie arménienne. En fait, les activités principales de cette économie, qui était sous l’obéissance et en état de sujétion politique, étaient extrêmement limitées. Pour cette raison, elle soutenait toujours toutes les initiatives destinées à détruire l’économie et le secret intérieur de la Turquie. Les capitalistes occidentaux tentaient de travailler avec les clergés (groupes d’Arméniens catholiques et d’Arméniens protestants) à leurs propres comptes en contournant la grande bourgeoisie financière arménienne qui s’était étroitement liée au gouvernement turc. Si ces tentatives ne donnaient pas de résultats escomptés, les capitalistes de l’Occident ont décidé d’utiliser la bourgeoisie moyenne comme médiateur économique. Cette stratégie a permis de rehausser cette économie tout en donnant une impulsion au développement du mouvement national. Ainsi, certains scientifiques notamment les intellectuels de Moscou et de Tbilissi ont rejoint ce mouvement. Dans les années 1970, la propagande pour l’avènement de l’identité nationale était menée oralement et par la presse entre les Russes et les Arméniens de Turquie dans les villes susmentionnées, qui sont devenues des centres du «libéralisme arménien». Les premières démarches de la bourgeoisie moyenne arménienne vers l’auto-affirmation visaient sans doute à limiter la domination des chefs religieux. Épaulée par les artisans de la ville, elle a lutté pour la sécurisation de l’Eglise, notamment du Patriarcat de Constantinople qui a connu des succès. La bourgeoisie moyenne a ensuite pris une place dans une organisation intitulée «la représentation arménienne» créée au patriarcat et à l’église. Cette représentation s’était engagée dans les affaires financières, judiciaires et éducatives. Autrefois, les paysans étaient restés à l’écart du mouvement national.

La deuxième raison de l’antagonisme évoluant consiste à ce qu’en Turquie, la bourgeoisie urbaine arménienne se comportait sans pitié et comme les usuriers envers les masses illettrés de la population musulmane. Ainsi, développée sur les motifs économiques, la question arménienne est devenue plus compliquée suite à l’intervention tragique des grands puissants – la Russie et l’Angleterre. Sous le slogan de «lutter pour protéger les chrétiens du régime tyrannique de la Turquie musulmane», la Russie essayait de s’emparer de la mer Noire, des détroits du Bosphore et des Dardanelles. La majorité de la bourgeoisie arménienne espérant utiliser ces slogans pour assurer l’auto-détermination nationale et politique, a pris l’orientation russe, en plus, a commencé à mener une campagne entre les Arméniens de Turquie et d’Arménie en ce sens. Cette position a changé de façon spectaculaire l’attitude du gouvernement turc envers la bourgeoisie arménienne. Tandis qu’avant la guerre de 1877, le gouvernement turc ne poursuivait pas la bourgeoisie arménienne, il avait même créé des conditions favorables pour les Arméniens renommés pour qu’ils puissent occuper des postes de haute responsabilité. Lorsque la Russie négociait les conditions de la paix avec la Turquie, les Arméniens vivant en Russie ont envoyé une lettre et les Arméniens vivant en Turquie dirigés par le patriarche Nerses, ont fait appel au prince Mikhaïl Nikolaïevitch, gouverneur du Caucase, pour demander de l’aide de la Russie. Ce qui a encore rendu les relations un peu plus tendues. Ainsi, d’après cette demande, la Russie a inclus le « paragraphe 16 » dans le traité de San Stefano. Aux termes de ce paragraphe, la Turquie devait procéder à des réformes urgentes dans les quartiers peuplés d’Arméniens et les troupes russes devaient rester dans les territoires occupés de la Turquie jusqu’au moment où ces travaux seraient achevés. La tentative de la Russie tsariste de conquérir les territoires montagneux peuplés d’Arméniens a été surmontée par les Anglais – adversaire principal de ce pays dans le Proche-Orient. Lors du Congrès de Berlin, l’Angleterre est parvenue à remplacer le paragraphe 16 par un nouvel article (article 61 du Traité de Berlin). Cet article réaffirmait que le gouvernement turc devait procéder à des réformes nécessaires dans les quartiers arméniens, mais donnait le droit de surveiller ce processus non seulement à la Russie, mais aussi à l’«union» composée de six pays puissants participants du Congrès de Berlin. Les décisions du Congrès de Berlin ont donné de l’espoir aux dirigeants de la bourgeoisie arménienne de recevoir une aide dans la lutte pour l’instauration d’un Etat national arménien – pas seulement de la part de Russie, mais aussi de la part d’autres pays puissants. Ce rêve irréalisable était enflammé par la diplomatie anglaise qui avait promis aux Arméniens de les aider à créer «La Grande Arménie» entre la mer Noire et la Méditerranée. Mais le changement de la direction a isolé les Arméniens de la situation internationale. Ils avaient refusé eux-mêmes l’aide de la Russie. L’Angleterre essayait de ne pas permettre à la Russie d’utiliser des Arméniens dans sa politique relative au Proche-Orient. Quant à la politique de l’Angleterre en Turquie, elle n’avait pas besoin d’aide arménienne. L’accord signé avec la Turquie avait défini d’autres objectifs de cette politique. Conformément à l’accord, l’Angleterre a pris l’île de Chypre en contrepartie de protection de la Turquie contre les attaques russes. Désespérée d’obtenir de l’aide des pays puissants, la bourgeoisie arménienne, s’est tournée vers la lutte armée. Des partis nationalistes Dachnaktsoutioun et Hentchak ont été institués en Transcaucasie de Russie et ils ont envoyé leurs partisans et propagandistes en Turquie, ont organisé des groupes rebelles dont l’objectif principal n’était guère de remporter des victoires lors des batailles. De cette façon, ils tentaient d’attirer l’attention des pays puissants sur les événements d’Arménie et de les impliquer à accomplir les engagements prévus à l’article 61 du traité de Berlin que la Turquie et les autres pays occidentaux avaient déjà oublié. Les bureaux à l’étranger des partis mentionnés ci-dessus menaient en ce sens, un travail intense en Europe occidentale. Vers la fin de 1890, Hentchak quitte la scène politique et Dachnaktsoutioun devient la seule organisation dirigeante des Arméniens. Bien entendu, la tentative d’insurrection a aggravé la situation dans les régions. Lorsque la tentative des Anglais visant à s’emparés de l’Egypte et de conclure un accord avec le Sultan Abdulhamid afin de légaliser l’occupation de la vallée du Nil a échoué, l’Angleterre «s’est rappelée» des Arméniens en vue de les utiliser pour menacer le Sultan. Quant à la Russie, elle menait une politique de russification en Transcaucasie et s’opposait à l’idée de «créer une zone où les Arméniens obtiendront des avantages exceptionnels». D'autre part, l’intention de la Russie à l’égard de la Bulgarie fut un échec bien que la Bulgarie ait été libérée à l’aide de la Russie tsariste, elle ne voulait pas devenir sa vassale. Ainsi, la diplomatie tsariste a clairement averti qu’elle ne permettrait pas la création d’une deuxième Bulgarie. L’Allemagne, qui s’efforçait d’obtenir une concession pour le chemin de fer de Baghdad, exprimait clairement son soutien pour la politique de «ressortissants criminels» menée par Abdul Hamid. Dans les années 1890, la stratification sociale de la bourgeoisie nationaliste arménienne oblige le parti de Dachnaktsoutioun à changer sa politique. Le parti commence à chercher du soutien dans le mouvement révolutionnaire turc, il a conclu un accord avec les jeunes turcs ; en 1907 à Paris, à l’initiative des dachnaks, s’est tenu le congrès de tous les partis opposants de l’Empire ottoman lors duquel le projet de coup d’Etat a été élaboré. Le coup d’Etat a eu lieu en 1908, mais n’a pas donné le résultat escompté pour les dachnaks. La situation des Arméniens ne s’est guère améliorée sous le nouveau régime. Le gouvernement jeune-turc a dû se contenter de punir légèrement ceux qui en étaient responsables. À cet égard, la situation politique arménienne a de nouveau changé de direction et s’est tourné vers la Russie. Cette fois-ci, le gouvernement tsariste les a accueillis favorablement. La guerre mondiale s’approchait, selon le témoignage de Milioukov, «Les Arméniens installés au carrefour de la Russie et de la Turquie» avaient une grande importance politique. En 1913, les diplomates russes ont conclu un accord avec la bourgeoisie arménienne organisée et s’expriment sur la protection des Arméniens innocents, ils ont demandé d’entreprendre des reformes dans les provinces orientales. Le gouvernement turc, soutenu par l’Arménie a été forcé de signer un accord sur les reformes en 1914 (26/1) après une résistance opiniâtre. En vertu de cette entente, les Arméniens devraient obtenir une large autonomie sous le contrôle russe dans les domaines de la gestion de la langue et du service militaire. Cette ingérence russe a aggravé la situation des Arméniens lors de la guerre mondiale commencée peu après la signature de cet accord. Dès le début de la guerre, les membres de Dachnaktsoutioun ont de nouveau mis en avant l’idée de «La Grande Arménie». Ils créaient également des unités de bénévoles composées des Arméniens déserteurs de la Turquie…La révolution de février 1917 a marqué le début d’une nouvelle ère dans l’histoire de la «question arménienne». En une année, la Transcaucasie, dirigée par le Comité spéciale de Transcaucasie recevant des instructions de Petrograd, entretenait des liens avec la Russie… En octobre 1917, les dachnaks ont convoqué le congrès national arménien qui a approuvé les relations entre l’Arménie et les autres régions de la Russie et a exigé de maintenir sous l’occupation de la Russie les territoires de l’Arménie de Turquie envahis par les troupes russes lors de la Première Guerre Mondiale. Le «Centre national arménien» dont le siège est à Tbilissi et le Conseil national composé de 15 membre, ont été créés lors du congrès… La défaite des grands puissants lors de la Première Guerre Mondiale a créé de nouvelles et rares possibilités pour la bourgeoisie arménienne. Après la guerre, les vainqueurs avaient besoins de soutien des Arméniens (en Transcaucasie) pas seulement dans la lutte contre la Turquie (Cilicie), mais aussi dans celle contre la Russie. La question arménienne revêtait une importance plus particulière qu’avant. A cet effet, les vainqueurs ont pris des mesures appropriées afin de mettre en place leur base arménienne en direction de «Soviétique». La République d’Arménie des dachnaks à réussi à reprendre la région de Kars, la province d’Irevan, ce qui lui a permis d’élargir son territoire (17.500 milles² anglais) et d’augmenter le nombre de ses habitants (1.510.000 habitants, dont 795.000 Arméniens, 575.000 musulmans, 140.000 autres nationalités). N’étant pas satisfaits de cela, les dachnaks ont revendiqué les provinces d’Akhalkalaki et de Bortchaly en Géorgie, le Karabagh et le Nakhitchevan et la partie sud de la province de Yelizavetpol en Azerbaïdjan. Les tentatives visant l’annexion forcée de ces territoires (lorsque les Anglais avaient occupés la Transcaucasie) ont conduit à une guerre avec la Géorgie (décembre 1918) et à une lutte longue et sanglante avec l’Azerbaïdjan suite à laquelle le nombre des habitants de ces régions a diminué de 10-30 % et de nombreux quartiers et bourgs ont été détruits par les Arméniens. La conclusion d’un accord avec l’Iran en 1919 et la prise de Constantinople (16/ III-1920) ont non seulement renforcé la position de l’Angleterre dans le Proche-Orient, mais aussi refroidi l’intérêt des Anglais pour la question arménienne. Vers fin 1919, les Anglais ont quitté la Transcaucasie et lors de la conférence de San Remo (avril-mai 1920), le sort de l’Arménie, comme on n’en avait plus déjà besoin, a été confié aux impérialistes de l’Europe occidental et ceux de l’Amérique du Nord. Ainsi, l’une des deux «bases arméniennes» a été éliminée. Bien que tous les espoirs relatifs à la création de la «Grande Arménie» aient échoué, les dachnaks continuaient à pratiquer une politique de nationalisme belliqueux dans le Caucase. Après la délimitation des frontières soviétiques au nord de l’Arménie, la situation des Arméniens est devenue encore plus difficile. Epuisé par le régime terroriste des dachnaks, de nombreux gaspillages et guerres, la faim de la mendicité, le peuple arménien cherchait à rejoindre le régime soviétique. Trois jours après l’instauration du régime soviétique en Azerbaïdjan, des émeutes ont éclaté dans différents quartiers Arméniens (Le pouvoir soviétique a été déclaré à Alexandropol qui n’a duré que quelques heures). Les rebellions ont été brutalement réprimés par les dachnaks. D’autre part, les relations d’amitié entre la Russie soviétique et Ankara, établies en 1920 étaient contre les intérêts des dachnaks arméniens. Par conséquent, en profitant de la présence du gouvernement turc dans la lutte sur le front gréco-anglais, les dachnaks ont décidé d’assurer leur sécurité du côté de la Turquie. En Juin 1920, le gouvernement d'Erevan a accepté la proposition d’annexer le Karabakh, le Nakhitchevan et les territoires qui manifestaient clairement leur sympathie envers l’Union soviétique. Les dirigeants du pays ont secrètement donné des ordres pour lancer des opérations de guérilla dans les territoires mentionnés ci-dessus. Les opérations ont commencé en septembre 1920. Equipés des armes britanniques, les dachnaks ont commis un massacre sur la population musulmane de Kars et d’Erevan. Les régions de Chouraguel, Cherour-Dereleyez, Kaghizman, Surmeli, Karakurt, Sarygamych ont été brûlées et pillées. Ainsi, en assurant leur arrière-front, ils ont attaqué Oltu et Kaghizman. Le régime soviétique a été instauré en Arménie en décembre 1920. En 1921, le traité russo-turc a annulé celui d’Alexandropol et a délimité la frontière actuelle entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. On peut assimiler la création du nouveau régime en Arménie comme la fin de la question arménienne. Cependant, après la soviétisation de l’Arménie, les impérialistes de l’Europe occidentale ont de nouveau tenté de spéculer sur la questionne arménienne lors de la conférence de Lausanne, un projet a été conçu pour la création d’un organisme spécial à Constantinople sous le contrôle des Nations Unis afin de fonder un «Foyer arménien» et de protéger les «minorités nationales». Un vrai soutien à l’Arménie a été apporté par la Russie soviétique. Le 27 janvier 1923, Tchitcherine a averti la conférence de Lausanne que les gouvernements russe et ukrainien avaient l’intention d’accueillir la grande partie des Arméniens à l’étranger. Tchitcherine a souligné à juste titre que la question arménienne ne pouvait pas être résolue en absence d’une délégation soviétique. La lettre de Tchitcherine a provoqué de grands remous aux arméniens de l’extérieur. Certaines sociétés caritatives ont adressé leur gratitude au gouvernement soviétique et ont informé la Russie sur leurs plans de mettre en œuvre la proposition de la Russie. L’échec total et définitif du programme de «La Grande Arménie», les travaux économiques et culturels effectués en Arménie soviétique ont conduit à une séparation entre les partis politiques arméniens représentés dans la «diaspora». La bourgeoisie arménienne et le Party des intellectuel (Parti libéral-démocrate (le Ramgavar)) exprimaient une attitude positive envers l’Arménie soviétique. Les représentants qu’ils ont envoyés à l’Arménie avaient constaté les travaux d’édification du gouvernement soviétique et avaient publié dans la presse du Ramgavar des articles de grande sympathie au pays soviétique. Même le Parti nationaliste de Hentchak s’était rallié à leur position. Le Dachnaktsoutioun reste le seul parti qui continuait à détester l’Arménie soviétique. Il continuait à promouvoir l’intervention armée, la guerre de partisans et l’insurrection dans le pays, tandis que la dernière tentative du mouvement contre-révolutionnaire de Vratsyan du février 1921 fut un échec, mais avait amorcé une sanglante guerre civile dans le pays. A cet effet, les migrants arméniens les plus consciencieux changeaient leurs vieilles croyances, et retournaient à leur pays d’origine en reconnaissant leur culpabilité. Après le coup d’Etat soviétique le Dachnaktsoutioun est sans aucun doute, condamné à mort et cet échec ouvre une nouvelle ère dans l’histoire de la question arménienne.

Notes de V. Gurko-Kryajin

Traduction de la Grande Encyclopédie soviétique, éditée en 1926 à Moscou, par les actionnaires de «La Grande Encyclopédie soviétique».

Les organisations terroristes arméniennes

Les recherches scientifiques confirment que le terrorisme arménien existait il y a plus de 100 ans. et il fit une partie intégrante du terrorisme international, Les organisations radicales arméniennes – les partis «Armenakan», créés en 1887 et plus tard, «Hentchak » et «Dachnaktsoutioun» avaient pour objectif principal d’utiliser largement les actes de terrorisme politique afin de réaliser les rêves de la «Grande Arménie».

Le Parti «Armenakan»

Créé en 1885, ce parti qui a commis des affrontements armés et des actes de terrorisme dans les régions de Van, Mouch, Bitlis, Trabzon et dans la ville d’Istanbul de la Turquie, entretenait une coopération étroite avec les Arméniens vivant en Iran et en Russie.

Le Parti Hentchak

Créé en 1887 à Genève, ce groupe a pour objectif principal de créer «La Grande Arménie», en unifiant la région d’Anadolou de la Turquie, les territoires qu’ils appelaient « l’Arménie russe et iranienne ». Ainsi, le 4e paragraphe du programme du parti stipule : «Pour atteindre l’objectif, il faut choisir une méthode afin de créer un parti visant la propagande, le terrorisme et les actes destructeurs».

Dachnaktsoutioun

Fédération révolutionnaire arménienne : Fondé en 1890 à Tbilissi. Le but de cette organisation est de créer «La Grande Arménie» en empiétant sur les territoires de l’Azerbaïdjan (le Haut-Karabagh et le Nakhitchevan) et de la Turquie (Anadolu). Lors de son premier congrès à Tbilissi en 1892, les dirigeants du Dachnaktsoutioun ont pris une décision sur l’organisation des attentats contre les turcs. C’est après ce congrès que le Parti a rendu une ordonnance qui stipule que : «Tuez partout les Turcs, les Kurdes, tuez les traîtres arméniens qui ne tiennent pas leur parole, venges-toi !». Il existe quelques groupes créés par le Parti Dachnaktsoutioun : Le groupe «Les vengeur du «génocide» arménien», mise en place en 1973, a tué les diplomates turcs en Autriche, en Danemark et au Portugal, dans les années 1980-1982 ; le groupe terroriste DRO et ses branches : DRO-8, DRO-88, DRO-888, DRO-8888. Les dachnaks poursuivent actuellement leurs activités en ce sens.

L’Armée secrète arménienne pour la libération (ASOA) :

Cette organisationa été instituée en 1975 à Beyrouth. Son siège se trouve à Damas. Elle a des milliers de militants formés dans des bases palestiniennes. Au cours des 6 premières années de fonctionnement, les membres de cette organisation ont commis des actes de terroristes qui ont conduit à la mort de 19 diplomates turcs dans plusieurs pays.

«L’Armée secrète arménienne pour la libération de l'Arménie» (A.S.A.L.A) a été créée en 1975.Son siège est situé à Beyrouth, ses bases de formation et d’exercices sont installées en Syrie. Cette organisation a pour but d’établir la «Grande Arménie» sur les territoires de la Turquie orientale, de l’Iran du Nord et de l’Azerbaïdjan (le Nakhitchevan et le Haut-Karabagh). Ses attaques terroristes visent principalement les citoyens turcs et Azerbaïdjanais. Hagop Hagopian, leader de l’ASALA, avait joué un rôle crucial dans la coopération de cette organisation avec les groupes terroristes, tels que «Abou Nidal», «le septembre noir». Hagop Hagopian, qui avait assumé la responsabilité de l’assassinat d’un ambassadeur turc à Athènes, en 1980, et il avait aussi déclaré lors de son interview accordé au journal «New York Times» le 1 août 1980 : «Notre ennemi sont le gouvernement turc, l’OTAn et les Arméniens qui ne collaborent pas avec nous». H. Hagopian a été tué à Athènes le 28 avril 1988. L’ASALA et le PKK avaient convenu de perpétrer conjointement des attaques terroristes et avaient officialisé leur intention en avril 1980 au Liban. Dans un communiqué publié le 28 août 1993 à Beyrouth, l’ASALA déclarait qu’elle ne permettrait pas la mise en œuvre du projet de l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan.

«Gegaron» - a été créé par l’ASALA en février 2001.L’objectif est de commette des attentats contre les hommes politiques, les diplomates et les hommes d’affaires d’origine turque dans le Caucase du Sud et en Asie Centrale.

«Le mouvement arménien de libération nationale» a été fondé en France en 1991. L’organisation mène son activité terroriste en étroite collaboration avec l’ASALA.

«Le Front de libération arménien» : Institué en 1979, cette organisation terroriste fait partie de l’ASALA. Elle est engagée dans la formation des terroristes contre la Turquie et l’Azerbaïdjan.

«Le groupe Orly» : Créé en 1981 par les jeunes arméniens résidant en France. Cette organisation a commis, jusqu’en 1987, plus de 10 actes de terrorisme dans différents aéroports du monde

«Les commandos luttant pour la justice pour le «génocide» arménien». Fondée lors du congrès du Parti «Dachnaktsoutioun» à Vienne en 1972, cette organisation vise à mobiliser les jeunes citoyens libanais d’origine arménienne d’organiser des attentats sanglants contre les Turcs et les Azerbaïdjanais.

«L’Union arménienne» a été créée à Moscou en 1988. Cette Union entretient des relations étroites avec l’ASALA. Elle fournit aux terroristes de faux papiers de l'espace postsoviétique. L’Union arménienne est impliquée dans les transferts des armes et l’envoi des mercenaires au Karabagh.

«L’Union des jeunes arméniens», qui s’occupe de l’enlèvement des diplomates, a été créée en France en 1990.

«Le Groupe du 9 juin» - Cette organisation qui vise la libération des terroristes arméniens arrêtés a été instituée en Suisse en 1991.

«Le Groupe de Suisse» - a revendiqué quatre (4) actes de terrorisme perpétrés en France, en Italie et en Grèce.

«Le Front démocratique» - qui opère aux Etats-Unis, au Canada et en Europe occidentale, vise la désintégration de la Turquie.

«L’Apôtre» - composé des citoyens d’Arménie, de Syrie et de Liban, a été créé par l’Union arménienne de la défense. L’objectif est de commettre des actes de terrorisme en Turquie et en Azerbaïdjan.

Les actes de terrorisme commis par les Arméniens sur le territoire azerbaïdjanais

Depuis les années 1980, les actes de terrorisme que les organisations terroristes arméniennes dans différents pays du monde mènent à travers l’aide financière et organisationnelle de l’Etat d’Arménie et de la diaspora arménienne a revêtu un caractère régulier. Afin de créer une panique et de provoquer de nombreuses pertes en vies humaines lors de l’occupation du Haut-Karabagh et des sept régions adjacentes de l’Azerbaïdjan, les services spéciaux arméniens ont perpétré, loin des zones d’opérations militaires, des attaques terroristes contre la population civile azerbaïdjanaise fait des milliers de morts. Ainsi :

16 septembre 1989 : L’explosion dans un bus qui quitte Tbilissi à la destination de Bakou a fait 5 morts, 25 blessés.

Le 18 février 1990 : L’explosion dans un bus à destination de «Choucha-Bakou» a provoqué de nombreuses pertes en vies humaines.

Le 11 juillet 1990 : L’explosion dans un bus Terter-Kelbedjer, l’attaque terroriste d’un convoi transportant des civils ont fait au moins 14 morts et 35 blessés.

Le 10 août 1990 : L’explosion d’un bus qui quitte Tbilissi à destination d’Aghdam a fait au moins 20 morts et 30 blessés. Les organisateurs de ce crime A.Avanesyan et M. Tatevosyan ont été traduits au tribunal. Le même jour, une bombe a explosé dans un bus «LAZ» non loin du village de Nadel de la région de Khanlar, sur l’autoroute Chemkir-Gandja. Suite à cette explosion, 17 personnes ont été tuées et 26 personnes blessées.

Le 30 novembre 1990 : L’explosion dans un bus non loin de l’aéroport de Khankendi a fait deux (2) morts et onze (11) blessés.

Le 9 janvier 1991 : L’attaque d’une automobile par laquelle se trouve Salatine Asgarova, correspondante du journal «La Jeunesse azerbaïdjanaise» et trois militaires à bord a fait quatre morts. Les membres du groupe terroriste A. Mkrtchyan, G.Petrosyan, A.Mangassaryan et G. Arustamyan ont été arrêtés suites à cette attaque.

Le 30 mai 1991 : L’explosion d’un train «Moscou-Bakou» non loin de la station de Khassavyourd de la République du Daguestan de la Fédération de Russie a fait 11 morts, 22 blessés.

Le 19 juin 1991 : L’explosion d’une automobile «UAZ-469» de l’unité militaire №5459 sur la route Yevlakh-Latchine a fait 3 morts, 3 blessés graves.

Le 31 juillet 1991 : L’explosion d’un train «Moscou-Bakou» non loin de la station de Temirtau, en République du Daguestan, a fait au moins 16 morts et 20 blessés.

Le 2 août 1991 : L’explosion d’une automobile «QAZ-53» dans le village de Dolanlar de la région d’Hadrout a causé 4 morts et 8 blessés.

Le 21 août 1991 : L’explosion d’un bus «KAVZ» non loin du village de Chadakht de la région d’Hadrout a fait 2 morts et 10 blessés graves.

Le 8 septembre 1991 : 5 personnes ont été tués et 34 blessées dans un bus «Aghdam-Khodjavend» visé par des tirs. L’acte de terrorisme a été perpétré par Khatchatouryan Volody, Yeremyan Saro, Tchalyan Sacha, Arustamyan Armo. Le même jour, les bandits arméniens ont tiré sur un bus «Aghdam-Garadaghly» et 8 personnes ont été tuées et 42 personnes blessées.

Le 26 septembre 1991 : L’explosion d’une automobile «VAZ 2106» sur la route Yevlakh-Latchine a fait 2 morts, 14 blessés.

Le 19 octobre 1991 : L’explosion d’une automobile «UAZ 469» non loin du village de Syrkhavend de la région d’Aghdere. Suite à cet incident, 3 personnes ont été tuées et 2 personnes gravement blessées.

20 novembre 1991 : Un hélicoptère «MI-8» a été abattu non loin du village de Garadaghly de la région de Khodjavend et a provoqué la mort de 19 personnes, y compris les fonctionnaires d’Etat et du gouvernement azerbaïdjanais, les observateurs russes et kazakhs.

Le 26 décembre 1991 : L’explosion des automobiles «ZİL-130» et «Moskbicth» a causé 5 morts et 4 blessés.

Le 8 janvier 1992 : 25 personnes ont été tuées et 88 personnes ont été blessées suite à un acte de terrorisme perpétré dans le traversier au départ de Krasnovodsk à destination de Bakou.

Le 28 janvier 1992 : L’hélicoptère civil «MI-8» effectuant le vol «Aghdam-Choucha» a été abattu non loin de la ville de Choucha par les terroristes arméniens. L’accident a fait 44 morts dont la majorité des victimes étaient des femmes et des enfants.

En janvier 1992, les groupes terroristes arméniens ont tué 80 personnes dans le bourg de Kerkidjahan.

En février 1992, les terroristes ont tué 77 personnes dans le village de Garadaghly de la région de Khodjavend.

Le 26 février 1992 : les Arméniens ont assassiné 613 civils et ont blessé 650 personnes dans la ville de Khodjaly.

Le 22 mars 1992 : L’explosion d’un véhicule «UAZ 469» dans la région de Gazakh a fait 3 morts et 2 blessés.

Le 28 mars 1992 : L’explosion d’un camion «Kamaz-5410» a fait 3 morts et 2 blessés.

Le 18 avril 1992 : Un véhicule «Vaz» a subi une attaque armée sur la route «Gazakh-Djeferli», 2 personnes a été mortellement blessées.

20 mai 1992 : L’automobile «UAZ-469» a subi une attaque armée non loin du village de Garantchy de la région de Zenguilan. Suite à cette attaque, deux personnes ont été tuées et 2 personnes blessées.

Le 28 février 1993 : L’explosion d’un train «Kislovodsk-Bakou» non loin de la gare de Gudermer dans le Caucase du Nord, en Russie, a fait 11 morts et 18 blessés.

Le 2 juin 1993 : L’explosion d’un wagon d’un train de passagers à la gare de Bakou a entraîné d'énormes dégâts matériels. L’auteur de l’explosion était le Russe Igor Khatkovski. Lors de l’interrogation, il confirme avoir reçu l’ordre du colonel Ohanesyan, chef de département de la Direction général de la Sécurité nationale d’Arménie, de perpétrer des attentats-suicides, des attaques terroristes qui pourraient causer de plusieurs pertes en vies humaines. L’enquête a révélé que ce groupe avait commis des explosions dans les trains provenant de la Russie à Bakou dans les années 1992-1994.

Le 22 juillet 1993 : 5 personnes ont été morts et 2 personnes blessées suite à une explosion dans la région de Terter. Le même jour, l’explosion commise au centre-ville de Gazakh a fait 6 morts et 10 blessés.

Le 30 août 1993 : L’explosion d’un camion «ZIL» dans la région d’Hadrout a entraîné la mort de deux personnes. Quelques jours après, un bus «GAZ-66» a explosé avec 12 personnes à bord. Suite à cet accident, 4 personnes ont perdu leur vie et 8 personnes ont été gravement blessées.

Le 1er février 1994 : Un acte de terrorisme perpétré dans un train «Kislovodsk-Bakou» à la gare de Bakou, a fait 3 morts et 20 blessés.

Le 18 mars 1994 : Un avion «Hercules» des Forces aériennes iraniennes a été abattu non loin de la ville de Khankendi. 34 diplomates et les membres de leur famille ont perdu leur vie.

Le 19 mars 1994 : L’explosion perpétrée à la station «Le 20 janvier» du Métropolitain de Bakou a fait 14 morts et 49 blessés. Le tribunal a prouvé que l’acte de terrorisme a été conçu par les services spéciaux de l’Arménie et a été mis en œuvre par les membres de l’organisation séparatiste lezguienne «Sadval». Depuis 1992, les activistes de l’organisation séparatiste «Sadval» ont été à plusieurs reprises en Arménie. La Direction générale de la Sécurité nationale de ce pays a joué un rôle actif dans la formation, le financement et l’armement de cette organisation. Au cours des mois avril-mai 1992, environ 30 citoyens azerbaïdjanais d’origine lezguienne ont participé aux exercices de préparations d’actes terroristes dans la base de formation au bourg de Lusakert de la région de Naïri de l’Arménie. L’enquête a également révélé qu’en plus de la station «Le 20 janvier», les terroristes planifiaient également de commettre des explosions au Cinéma Nizami, au Palais Heydar Aliyev et à l’usine de lampes de Bakou. Des poursuites pénales ont été engagées contre 30 membres de Sadval, accusés de perpétrer l’acte de terrorisme à la station «Le 20 janvier».

Le 13 avril 1994 : L’explosion d’un train non loin de la gare «Le feu du Daguestan» de la République du Daguestan qui a fait 6 morts, 3 blessés.

Le 3 juillet 1994. L’explosion d’un train électrique entre les stations «28 Mai» et «Gandlik» du Métropolitain de Bakou a fait 13 morts et 42 blessés. L’acte de terrorisme a été perpétré par Azer Salman oglu Aslanov, citoyen de la République d’Azerbaïdjan, devenu prisonnier le 13 janvier 1994, lors des combats pour le Haut-Karabagh et impliqué dans la coopération avec les services spéciaux de l’Arménie. La procédure judiciaire a révélé que le 14 janvier 1994, Zori Balayan, écrivain, un des idéologues des séparatistes arméniens, avait rencontré Azer Aslanov, prisonnier de guerre, d’origine lezguienne, et lui a fait part de la nécessité de la coopération commune des minorités dans la lutte contre les Azerbaïdjanais. Il a été impliqué dans la coopération avec les services spéciaux arméniens sous le pseudonyme «Ömer-75». Des faux papiers ont été fabriqués pour lui afin de faciliter son entrée en Azerbaïdjan. Déplacé en Azerbaïdjan en bus Erevan- Mineralnye Vody –Bakou, A. Aslanov a perpétré le 3 juillet 1994 l’acte de terrorisme entre les stations «28 Mai» et «Gandjlik» du Métropolitain de Bakou et s’est retourné en Arménie. Selon l’enquête sur cette affaire, les instructeurs de cette attaque terroriste étaient Karen Bagdassaryan, colonel des services spéciaux de l’Arménie et le capitaine Seyran Sarkissian. Les enquêtes menées par les instances de la Cour Suprême de la République d’Azerbaïdjan ont prouvé que les actes de terrorisme perpétrés dans le territoire de l’Azerbaïdjan avaient été organisés avec le soutien financier et technique, ainsi que la présence directe des fonctionnaires du soi-régime du Haut-Karabagh, des services spéciaux et d’autres institutions de la République d’Arménie.

Source: www.human.gov.az

Réflexions de la communauté mondiale sur les Arméniens

1. Depuis longtemps, il existe une mauvaise opinion des Arméniens et sans doute, ce n’est pas sans fondement. S’il n’y avait pas de preuve, une telle opinion ne pourrait pas se produire sur une nation entière, même à différentes époques.... ...Ce sont les Arméniens qui ont tendance à crier à chaque occasion.

Chercheur russe V. L. Velitchko. Œuvre de «Le Caucase»

2. Les Arméniens suppriment les traces des Géorgiens dans les temples et les monastères appartenant aux Géorgiens, grattent ou effacent les inscriptions géorgiennes sur les pierres ou bien les remplacent avec celles arméniennes.

I. Tchavtchavadze, écrivain et penseur géorgien.

3. Votre Excellence, ne permettez pas l’installation des Arméniens dans les régions centrales russes. Ils sont de telles tribus qui, d’ici quelques décennies, vont crier au monde que ce sont leurs terres de leurs ancêtres.

A.S.Griboïedov, extrait d'une lettre à l'empereur russe.

4. Etant donné que l’Etat l’Arménie n’a joué aucun rôle significatif dans l’histoire de l’humanité, l’origine de son nom est un terme géographique où vivaient les Arméniens. Celui-ci n’était qu’un endroit où les pays puissants comme l’Assyrie, la Médie, l’Iran, la Grèce, la Mongolie, la Russie etc., résolvaient leurs différends.

Kerop P. Patkanov. Les inscriptions de Van et leur importance pour l’histoire de l’Asie mineure. pp 36-37, 1981. Tiré du livre « L’Arménie» de Magdi Neyman. 1899, Saint-Pétersbourg.

5. Je n’ai jamais pu se mettre d’accord avec eux (Les Arméniens). Leur ruse est trop grossière, leur bassesse trop insupportable et leur lâcheté assez regrettable.

Le comte De-Chaulieu, voyageur français.

6. Les Arméniens ont commencé à sucer le sang de la population locale. Ne s’étant pas satisfaits de cela, les Arméniens menaient leur politique afin de porter atteinte à la réputation de la population musulmane pour qu’ils puissent l’expulser à l’avenir et s’emparer de leur terre.

Le chercheur russe V.L.Velitchko, L’affaire russe et les questions intertribales. La collection complète des œuvres journalistiques. Volume 1, 1904. Saint-Pétersbourg.,

7. 1 million sur 1,3 million d’Arméniens vivant dans la Transcaucasie ne sont pas dans leur origine ancestrale et ils y ont été installés par nous-mêmes.

N.I. Chavrov. «La nouvelle menace pour les affaires en Transcaucasie : En attente de la vente de Moughan aux étrangers». pp.59-61, 1911. Saint-Pétersbourg.

8. Cette église a été à un certain moment un abri des contrefacteurs. J’ai l’impression que ce monastère est un centre politique plutôt que religieux.

Le scientifique français de-Ban sur sa visite à l’église d’Etchmiadzine.

9. Des corps des paysans musulmans criblés de coups de baïonnettes, des parties du corps coupées, des organes internes humains avaient été dispersés sur les routes menant aux villages..... principalement les femmes et les enfants! Les meurtres avaient été organisés par les juges et les riches et exécutés par l’armée arménienne. Des puits profonds avaient été creusés, des personnes vulnérables et les animaux avaient été massacrées et jetées dans ces puits. Les Arméniens qui étaient responsables de ces meurtres, remplissaient quatre-vingts musulmans dans une maison et les décapitaient.

Tiré du rapport du lieutenant- colonel Gryaznov sur les massacres de 1915 à Erzindjan.

10. Les racines historiques du Karabagh remontent à l’époque antique. C’est l’une des régions historiques de l’Azerbaïdjan, un centre politique, culturel et spirituel de l’Azerbaïdjan. L‘origine du problème du Karabagh se base sur les idées fausses des Arméniens.

Samuel A.Uims. «Les secrets de l’Etat chrétien terroriste d’Arménie», Les séries de tricheries arméniennes, Volume 1.

11. Nous sommes des témoins de la tragédie de Khodjaly. Nous avons été témoins des corps mutilés des défenseurs de Khodjaly, des centaines de civils – des femmes, des enfants, des personnes âgées... Nous n’avons pas pu terminer le tournage à cause des tirs arméniens visant notre hélicoptère. Pourtant, ce que nous avons vu de la hauteur nous permet d’imaginer les sauvageries commises dans cette ville. C’était une image horrible. Les Arméniens tuaient brutalement les enfants âgés de 5-6 ans, les bébés emmaillotés, ainsi que les femmes enceintes.

Le journaliste français Jean-Yves Junet, témoin de la tragédie de Khodjaly.

12. Il y a des prisonniers. Cependant, ils ne sont pas en état de vivre. En hiver, ils restaient débout à pieds-nus sur la neige. On versait de l’eau froide et frappait à la tête avec une bouteille et les reconduisait à la cellule de prison. La vraie torture commençait là-bas. On coinçait leurs doigts entre la porte, et les battait avec les matraques en caoutchouc. La plupart d’entre eux étaient incapables de supporter la torture et devenaient fou. Lorsque que nous nous sommes emparés d’un nouveau village, j’ai vu un Arménien découpé un bébé en deux morceaux. Ensuite, avec une partie de corps découpé, il a frappé la mère du bébé avec une partie du corps découpé. Couverte de sang de son bébé, elle est devenue folle et a commencé à rire.

Tiré de l’article « Le syndrome de pétrole», 29.01.1994. Journal «Moskovski komsomolets».

Arméniens sur eux-mêmes

1. En 1883, 15.992 habitants sur 18.766 de la ville d’Irevan étaient les Azerbaïdjanais. En 1866, les Azerbaïdjanais constituaient 85,2 % (23.626 personnes sur 27.246) de la population locale d’Irevan.

Scientifique arménien Zaven Korkodian. Extrait du livre «La population de l’Arménie soviétique en əhalisi 1831-1931». 1932.

2. Selon le concept historique, la vraie patrie des Arméniens – la soi-disant Grande Arménie se situait hors des frontières russes, plutôt en Asie mineure. En ce qui concerne les Arméniens vivant dans le Haut-Karabagh, certains d’entre eux étaient les descendants des anciennes générations albanaises qui ont conservé le christianisme. Les autres sont des réfugiés en provenance d’Iran et de Turquie pour fuir les attaques et le harcèlement.

B.Ishkhanyan. «Les peuples du Caucase», Petrograd. 1916, p.18.

3. S’il n’y avait pas de «Traité de Turkmentchaï» en 1828, Griboïedov et Abovyan, ou encore de soldats russes, des centaines de foyers arméniens récemment créés ne se seraient transformés actuellement en villages et villes modernes… Au cours de la dernière décennie (années 1960-1970), plus de deux cent mille Arméniens ont été installés dans cette Patrie.

Zori Balaïan «Le foyer», ppp. 120, 192, 273.

4. Dès que la situation s’est apaisée, j’ai revue Choucha. Il ne restait que de tas de pierres dans le quartier turc de la ville. Toutes les maisons avaient été brûlées, leurs propriétaires avaient été tués. La même situation s’était produite dans le quartier turc à Khankendi…Epaulés par les Anglais les Arméniens se sont emparés de Bakou, ville pétrolière, et ont massacré 25.000 personnes de la population turque de la ville.

Souvenirs d’Ohanes Apresyan. Leonard Ramsden Hartville. «Les gens sont comme ça. Les souvenirs d’un Arménien sur les événements de 1918-1922 enAzerbaïdjan». Imprimerie de «Bobbs-Merrill Company» 1928, Indianapolis, les Etats-Unis.

5. Les représentants dachnaks du gouvernement arménien tentent d’annexer le Karabagh à l’Arménie. Cela signifie la privatisation de la population du Karabagh de la vie à Bakou et leur participation dans celle d’Erevan avec laquelle elle n’a aucun lien. Lors du cinquième congrès, les paysans arméniens ont décidé de reconnaître l’Azerbaïdjan et de lui rejoindre sous sa tutelle.

Anastas Mikoyan. Extrait de sa lettre adressée à Lénine, 22.05.1919.

6. L’une des principales causes des conflits entre les Turcs et les Arméniens, c’est la cruauté des nationalistes arméniens contre l’humanisme, les soins et le patriotisme des peuples turc et azerbaïdjanais.

L.Z. Surmeliyan, écrivain américain d’origine arménienne. Extrait du livre «Mesdames et Messieurs, je m’adresse à vous».

Source: www.azerbaijan.az